cookies

lundi 4 octobre 2010

Des répliques et citations de la saison 3 :


Des répliques et citations de la saison 3 :



Episode 16 :


De Jimmy


« Vous voulez savoir comment ça se passe dans mon lycée ?

Et bien en vérité, il n’y a pas une seule personne qui mérite qu’on se souvienne d’elle.

Vous voyez, les gens ici sont faux, alors ils restent avec leurs cliques pour le cacher.

Les fumeurs sont sous médicaments, les bons étudiants ont peur et les sportifs…

Ben… ce sont des sportifs.

Ils sont à leur sommet à 17 ans et leurs petites amies pom pom girls seront grosses et seules à 21 ans.

Des loosers !

Tout le monde ici est un looser.

En vérité… chaque jour où je viens à cette école est un jour de moins où j’ai besoin d’y revenir.



De Lucas


« Cette obscurité a t’elle un nom ?

Cette cruauté, cette haine, comment nous a t’elle trouvé ?

A t’elle surgi dans nos vies, ou l’avons nous recherchée et acceptée ?

Que nous est il arrivé ?

On envoie maintenant nos enfants dans le monde comme on envoie de jeunes hommes à la guerre en espérant qu’ils reviennent sains et saufs tout en sachant que certains seront perdus en chemin.

Quand avons nous perdu notre voie ?

Consumés par les ombres, avalés par l’obscurité.

Est-ce que cette obscurité a un nom ?

Est-ce votre nom ?




Episode 17 :


De Lucas


« Les étapes de notre peine : la colère, la peur, la culpabilité, la dépression, l’acceptation… et les premiers germes de la peine. »



Et un discours du prêtre :


« Si seulement j’avais les ailes d’une colombe je m’envolerais pour trouver le repos.

Mon compagnon attaque ses amis, il trahis son engagement.

Son discours est mielleux mais son cœur est dur.

Mais toi Seigneur, tu feras tomber l’atroce dans la corruption.

Les hommes malhonnêtes ne vivront pas la moitié de leur vie.

Quant à moi, je te fais confiance. »




Episode 18 :


De Henry James :


« Ne craint pas la vie car elle vaut la peine d’être vécue et c’est cet espoir qui la crée. »



Et de John Steinback


« Le changement arrive comme le petit vent qui agite les rideaux à l’aube et le parfum furtif des fleurs sauvages que l’herbe chevauche. »

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire